Le petit cremeux fromage en crote gratinées enfant qui mange poutine

Notre savoir-faire

De génération en génération

Dès notre fondation en 1939 au Saguenay-Lac-St-Jean par Bernadette, Noël, Herman, Patrick et Antonio Boivin en compagnie de leur mère Marie Bluteau, notre mission est d’offrir des produits de qualité pour la vie de tous les jours, que l’on peut savourer aux repas comme à la collation.

En 2017, la troisième génération de fromagers de la famille, soit Michel, Pierre et Jean-Marc, passe le flambeau après 40 ans à la tête de l’entreprise. C’est alors que Valérie, Luc et Patricia héritent de la direction et de huit décennies d’expérience léguées par leurs ancêtres. Depuis, il mettent leur expertise à profit à chaque étape de la fabrication des produits afin de poursuivre la tradition dans les règles de l’art.

Un développement durable

Les pratiques de l’usine se sont modernisées au fil du temps pour demeurer à la fine pointe de la technologie. Sensible au développement durable, la famille Boivin se sert maintenant de la biomasse forestière comme énergie et des eaux très froides du fjord du Saguenay pour refroidir les silos à lait de l’usine.

Quand la famille s’agrandit

En 1998, la famille Boivin procède à la construction d’une importante usine de traitement du lactosérum. Cette usine opère le seul séchoir à l’est du Québec. L’entreprise transforme le lactosérum issu de sa propre production, mais également de d’autres fromageries du Québec. Le lactosérum représente 90 % du volume de lait traité par une fromagerie.

En 2001, l’entreprise s’associe aux Duperré de la Laiterie de la Baie et à 36 producteurs laitiers pour acquérir la Fromagerie St-Fidèle de Charlevoix, appartenant alors à Agropur. L’entreprise centenaire spécialisée dans la fabrication du fromage emmental s’ajoute au couteau suisse du groupe Boivin.

En 2010, l’entreprise se voit confier la fabrication des collations Amooza pour la multinationale Kraft, et ce, pour tout le Canada. Cette marque de commerce est maintenant la propriété de Lactalis Canada.

En 2017, l’entreprise prend encore de l’ampleur alors qu’elle fait l’acquisition de la Fromagerie Lemaire, située à Saint-Cyrille-de-Wendover, aux abords de Drummondville. Partageant les mêmes valeurs et une expertise similaire, les deux fromageries familiales ont trouvé leur compte dans cette transaction.

En 2021, le groupe Fromagerie Boivin se porte acquéreur de la Fromagerie Pépite d’or, une importante fromagerie située en Beauce, ainsi que des restaurants Poutine d’Or. Cette même année, la Fromagerie Boivin ouvre son comptoir au marché des Promenades St-Bruno.

100 % lait frais

Étant situés au cœur d’un des plus importants bassins laitiers du Québec, la préparation de chacun de nos fromages débute avec du lait frais, récolté chaque jour chez nos producteurs laitiers régionaux. Ce sont 40 millions de litres de lait de qualité et reconnu partout au Québec, et issu de l’agriculture nordique, qu’on transforme pour obtenir annuellement 4,5 millions de kilos de fromage. Vous connaissez maintenant le secret du goût riche et inégalé de nos produits qui fait notre réputation.

Le secret des abysses

Vous avez peut-être entendu parler de la fameuse cargaison de fromage perdue dans les profondeurs du fjord saguenéen en 2005. Eh non, ce n’est pas une légende : 800 kilos de fromage cheddar avait bel et bien été immergé à plus 120 mètres de profondeur dans les eaux glaciales… puis jamais retrouvés.

Le processus d’immersion a été retenté avec succès l’année d’après. On souhaitait faire vieillir le fromage pendant cinq ans sous l’eau pour développer un produit d’origine contrôlée doté d’une texture crémeuse, d’un goût plus prononcé et d’arômes de noisettes.

L’histoire singulière s’était non seulement retrouvée à la une des médias québécois de l’époque, mais avait aussi fait des vagues jusqu’en Europe.

Le secret des abysses, une expérience de recherche et développement qui a fait le tour du monde et dont on parle encore! Malgré l’aspect cocasse de l’expérience, les essais ont été concluants et démontrent que la pression modifie l’affinage du fromage.

Faute de pouvoir commercialiser le produit vieilli sous l’eau, l’entreprise tentera bientôt de reproduire le même effet, mais à l’aide d’une chambre hyperbare. À suivre…